Jeudi 20 janvier 4 20 /01 /Jan 02:08

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François, pinaillages sans fin...

Après six mois de stages qui m’ont un petit peu bridé sur les rencontres que j’ai pu faire, le mois août, mois salutaire pour ma vie sentimentale et sexuelle est arrivée.

De retour en Bretagne, pour y passer les vacances, je n’ai pas perdu de temps et me suis connecté aux garçons de la région, enfin aux quelques garçons disponibles de Vannes... N’ayant pas de voiture, je ne pouvais pas me déplacer pour aller à leur rencontre. Vannes et ses alentours sont très mal desservis par les transports, la politique menée est à l’individualisme motorisée.

Sur les chats, on ne rencontre pas beaucoup de garçons et c’est toujours à peu près les mêmes qui sont au rendez-vous. J’avais une vision plutôt négatif des bretons avant de partir sur Paris, mais après avoir goûté à Paris, j’ai réévalué mon appréciation. Les bretons gays, en tout cas, ceux que j’ai rencontré m’ont semblé plus simple et moins formaté qu’à Paris.

Pendant cette période, j’ai donc rencontré plusieurs garçons dont François. On a correspondu pendant quelques jours avant de se rencontrer. Direct, il était très porté sur le cul. Ce qui aurait pu me gêner en temps normal ne me gêné pas outre mesure là, je voulais profiter des vacances et étais affamé de sexe. Et puis je savais que les relations que j’entamais ici n’étaient pas vouées à durer. Lui non plus ne pouvait pas bouger, il habite Rochefort-en-Terre, pas loin de Vannes. François est un garçon aux cheveux poivre et sel et mesure dans les 1m75. Il a une bouille craquante et les dents jaunies par le tabac.

 

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François avait un ami qui voulait faire un truc à trois. J’ai dis pourquoi pas, il avait l’air pas moche du tout. Je ne me souviens plus de son nom mais il avait un humour sarcastique et était infirmier au Mans. Comme moi il était en vacances. On s’est donc donné rendez-vous dans ma maison de vacances pas loin de Vannes. J’avoue ne pas avoir trop l’habitude des plans au delà de deux partenaires, mais bon l’été je suis un peu dans mon bac à sable, à profiter du moment présent et à découvrir de nouvelles sensations sans me soucier du lendemain.

L’ami de François avait une voiture. Ils sont passés me prendre à Vannes, puis on est allé dans ma maison abandonnée. On a discuté, bu du vin, mangé un bout puis on a baisé tous les trois. Ce ne fut pas une expérience inoubliable, je ne savais pas ou donner de la tête. C’est vraiment très déconcertant.

 

Et puis j’étais attiré pas François que je trouvais plus mignon et plus simple. Je n’arrivais pas à me dédoubler et aller inexorablement vers lui. J’avoue que la verge de François était bien plus grosse et bien plus ferme que celle de notre autre compagnon. Ce dernier n’arrivait pas bien à bander, alors que François bande tout le temps très fort et n’éjacule pas, ce qu’il fait qu’il ne débande presque jamais. C’est un des rares garçons qui après m’avoir pénétré pendant une heure, en faisant des pauses bien entendu, ne peut éjaculer... C’était comme un fantasme réalisé.

 

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Un niqueur né qui n’arrête jamais. Hummm...

J’espérais donc en finir très vite avec ce plan qui m’ennuyait plus qu’autre chose. Je voulais rester avec François pour m’amuser avec lui seulement. Vers 4h du matin, notre compagnon devenu indésirable est parti...et là on s’est complètement lâché. J’ai découvert   le «coup du marteau piqueur» grâce à François. Son sexe était gros et pouvait être douloureux mais le plaisir qu’il engendrait était bien plus fort.

 

Mes fesses bien exposées en arrière et ma tête penchée contre le lit, il introduisait son sexe en douceur. Il me mit d’abord des petits coups pour me travailler tranquillement. Puis, au fur à mesure, il accélère le rythme et monte sur mon cul. C’est là que se déclenche le marteau piqueur. Un surnom qu’il a lui même trouvé et qui le fait marrer. Tous les deux, on se retrouve à la verticale et il me met des bons coups de queue, comme un totem vivant. C’était très sexuel et pas si sauvage que ça. Et là je n’ai fais que gémir et gueuler et cela pendant quinze jours. Quinze jours ou à part nos ébats, nous avons mangé et joué aux jeux vidéos. Un programme parfait...

Par Blasch.
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